Bonjour,
Alors que les trois étalonnages astrométriques fonctionnent
- sur une image - réels 32 bits,
- sur une image - entier 16 bits signés.
Donc que des étoiles ont été repérées sur le cliché.
L’autoguidage PRISM semble fonctionner avec des réels mais pas avec entiers : il ne trouve pas d’étoile.
Ce que confirme CCD Inspector.
Dans la mesure où la DMK 31 produit des images - entiers 16 bits signés,
comment l’utiliser pour récupérer des séries d'images d'autoguidage sous le format réel 32 bits
ou existe-t-il un autre moyen qui permet d’autoguider avec une DMK ?
Merci.
DMK et autoguidage
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Re: DMK et autoguidage
Il n'y a pas de raison ni de discriminsation entiers et reels au guidage.
Une image serait la bienvenue.
Une image serait la bienvenue.
Cyril Cavadore, ALCOR-SYSTEM, Auteur de PRISM
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Re: DMK et autoguidage
Bonjour Cyril,
Fausse alerte, finalement tout est reparti sans que je sache véritablement pourquoi. J’ai donc entrepris Helix.
Si un calage soigné de caméra (91.5° avec l’axe des X) m’a permis de tutoyer le PNC de 28 arcsec au bout d’une grosse demi-heure d’attente sur un trépied de base. En combinant focalisation automatique et focalisation sur une étoile, je n’ai jamais réussi à atteindre une MAP satisfaisante (6.8 px | > 5 arcsec).
En recalant le télescope sur Caph, j’ai pu sans encombre atteindre Helix. Pour le fun, j’ai utilisé une méthode de cabotage : Caph, Altair, theta Aquila, epsilon Aquila, beta Aquila, alpha Aquila, Deneb Algedi puis NGC 7293 afin de voir le comportement au pointage. A partir d’Altaïr, je n’ai plus recalé le scope. Deneb était en bord d’écran et Helix à demi-visible et donc facilement recentrable (« décaler le télescope avec un vecteur »). Peut-être qu’à faible hauteur, le pointage perd un peu de précision ( ?)
La calibration d’autoguidage m’a donné un parallélogramme pratiquement fermé (merci Avalon)
Par contre, j’ai panouillé complètement avec le guidage :
Même si à 3 mn de pose sur Hélix, j’obtiens un cliché convenable : une élongation de 8.6% pour un seeing de 5.99. Sur des poses de 1400 s, je suis aux fraises, deux jours de suite (le 24/08 et le 25/08). Systématiquement, mes étoiles s’allongent en direction du coin haut droit du cliché (donc à vue humaine, je dirais Sud-Ouest).
J’ai revu avec attention les deux vidéos mais je ne comprends pas la relation de cause à effet entre le paramétrage d’EQMod et de PRiSM et les courbes de Tracking Inspector. Pourtant, PulseGuide Monitor d’EQMod, avec lequel j’ai fini par me débrouiller grâce à la note de Greg Marshall, n’est pas fondamentalement différent. Du coup, je me rabats provisoirement sur PHD en stand alone, avec à portée de main le pense-bête de Craig Stark, « When PHD Guiding isn't Push Here Dummy”. En attendant mieux. CDT. Eric
Fausse alerte, finalement tout est reparti sans que je sache véritablement pourquoi. J’ai donc entrepris Helix.
Si un calage soigné de caméra (91.5° avec l’axe des X) m’a permis de tutoyer le PNC de 28 arcsec au bout d’une grosse demi-heure d’attente sur un trépied de base. En combinant focalisation automatique et focalisation sur une étoile, je n’ai jamais réussi à atteindre une MAP satisfaisante (6.8 px | > 5 arcsec).
En recalant le télescope sur Caph, j’ai pu sans encombre atteindre Helix. Pour le fun, j’ai utilisé une méthode de cabotage : Caph, Altair, theta Aquila, epsilon Aquila, beta Aquila, alpha Aquila, Deneb Algedi puis NGC 7293 afin de voir le comportement au pointage. A partir d’Altaïr, je n’ai plus recalé le scope. Deneb était en bord d’écran et Helix à demi-visible et donc facilement recentrable (« décaler le télescope avec un vecteur »). Peut-être qu’à faible hauteur, le pointage perd un peu de précision ( ?)
La calibration d’autoguidage m’a donné un parallélogramme pratiquement fermé (merci Avalon)
Par contre, j’ai panouillé complètement avec le guidage :
Même si à 3 mn de pose sur Hélix, j’obtiens un cliché convenable : une élongation de 8.6% pour un seeing de 5.99. Sur des poses de 1400 s, je suis aux fraises, deux jours de suite (le 24/08 et le 25/08). Systématiquement, mes étoiles s’allongent en direction du coin haut droit du cliché (donc à vue humaine, je dirais Sud-Ouest).
J’ai revu avec attention les deux vidéos mais je ne comprends pas la relation de cause à effet entre le paramétrage d’EQMod et de PRiSM et les courbes de Tracking Inspector. Pourtant, PulseGuide Monitor d’EQMod, avec lequel j’ai fini par me débrouiller grâce à la note de Greg Marshall, n’est pas fondamentalement différent. Du coup, je me rabats provisoirement sur PHD en stand alone, avec à portée de main le pense-bête de Craig Stark, « When PHD Guiding isn't Push Here Dummy”. En attendant mieux. CDT. Eric
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Re: DMK et autoguidage
La encore, sans image, j'ai du mal a suivre...
Cyril Cavadore, ALCOR-SYSTEM, Auteur de PRISM
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